En dépit de l’abondance des publications (recueils, cours, dictionnaires, conférences), les théologiens et particulièrement les casuistes du XVIIIe siècle, n ‘ont jamais apporté de définition à la notion de cas de conscience. Ils ne se sont pas davantage souciés d’éclaircir leur pratique de résolution des cas et moins encore de proposer une méthode de résolution. […]