On ne s’est guère intéressé jusqu’ici à la controverse religieuse de la fin du XVIe siècle. On considère en effet généralement que la littérature théologique de cette période se caractérise par une sécheresse, un formalisme et, pour tout dire, un manque de vie, qui ne la rend guère digne d’attention. Ce jugement est partiellement justifié. […]