Le philosophe Jean-Pierre de Crousaz, auteur apprécié dans le premier tiers du XVIIIe siècle, ne semble plus guère susciter qu’un intérêt poli. La place que lui ménage l’Histoire de la littérature en Suisse romande (Lausanne, Payot, 1996,1.1) en donne une illustration : de Crousaz fournit quelques éléments pour la synthèse ; il n’est pas traité […]