Si je saisis l’occasion qui m’est offerte d’une réponse à l’étude critique de J.-P. Th., c’est sans ardeur et sans passion. Faut-il vraiment que, sur le marché théologique, je vienne défendre ma marchandise, montrer tel le poissonnier du petit village d’Astérix que mon poisson est moins pourri que certains ne l’affirment avec des arguments-massues? Quel […]