La postérité immédiate de Jean-Pierre de Crousaz, à l’exemple de l’Encyclopédie d’Yverdon, porte un jugement sévère sur ses ouvrages, lui reprochant sa prolixité, un manque de précision et les nombreuses répétitions. L’analyse des compte rendus publiés dans l’espace de vingt années dans quatre revues savantes francophones proches du Refuge huguenot, des Nouvelles de la République […]