Je vous avouë, Monsieur mon très Cher Cousin, qu’à moins de m’apprendre que vous étes à la tête d’un Regiment, vous ne pouviés rien m’anoncer de plus agréable, que les sentimens dont Son Excellence Monsieur le Comte de Frise m’honore. Je crois que la fueïlle que vous lui feres lire vaut mieux que ma lettre […]