Revue de théologie et de philosophie
depuis 1868
  • Actualités
  • Présentation
  • Instructions aux auteurs
  • Comités
  • Recensions
  • Archives
    • Rechercher un article

Séduit soit qui bien y pense

Nous avons été séduits, puis nettement déçus par la séduction, à cause de l’intérêt pléthorique, séducteur, qu’elle semble soulever en ce moment. Mais c’est séduisante, et non séductrice, qu’elle nous est apparue, et pour cela, malgré cela, nous persistons à vouloir écrire à son sujet. Situation intenable: expliquer, tenter de réfléchir sur la séduction tout en la laissant intacte: pour nous, partis de l’intérieur d’elle-même, du sentiment de son existence diffuse, la condition de sa récurrence, de sa réapparition est une dose d’ignorance sur elle. Mais la conscience de l’inconnaissance ne doit pas conduire à un dangereux néo-irrationalisme résigné et paresseux. La séduction, si elle est un «corps noir», ne peut guère exister comme masse; serait-elle — encore une métaphore hardie — «anti-matière».

Lire la suite de l’article

L' »idéologie subjective » de Maine de Biran et la phénoménologie
Études critiques : une dogmatique existentielle à propos de la dogmatique de Gerhard Ebeling

RThPh   •  

s