S’inspirant de travaux menés à l’Institut de recherches herméneutiques et systématiques de Neuchâtel, l’article esquisse quelques implications résultant d’une approche herméneutique du dialogue entre science et foi. Partant de l’extension du phénomène de l’interprétation, il réfléchit aux conditions du travail interdisciplinaire et à l’accent interactionnei qui en résulte. Il aborde ensuite la question d’un tiers d’ancrage pour science et foi. ce qui le conduit à une réflexion sur la dialectique entre Ecriture et expérience.