Le texte reprend ce que Ghislain Waterlot dit de La théologie, indiquant quelques inflexions symptomatiques, sur le christianisme comme récapitulation, sur le rapport à l’absolu, fondamental ou non, sur la révélation, le nécessaire et le contingent. Il renoue ensuite avec le débat, passant en revue la relation entre théologie fondamentale et traditions particulières, la question de savoir si la théologie, ici, devient philosophie ou non, la question enfin de la particularité et de l’universalité et, surtout, de leurs rapports, avant de s’interroger sur la tâche, pour la théologie, d’être ou non force de proposition.