Dès l’immédiat après-guerre des relations se sont nouées entre Paul Ricœur et la Suisse romande ; elles seront durables, attestées par le double mouvement de ses fréquentes interventions ici et des nombreux passages d’étudiants romands dans ses cours, tant à Strasbourg qu’à Paris. Cet article repère quelques moments significatifs de ces échanges, dans leur diversité.