Max Frisch, qui se dit agnostique, a très souvent recours à la Bible, tout au long de sa création artistique. Le présent article a pour but d’élucider ce paradoxe, d’analyser les différentes facettes et les étapes successives de l’interaction complexe et fructueuse entre théologie et littérature. La discussion abordera, au-delà des aspects théologiques. notamment des questions esthétiques que soulève l’intertexte biblique.