Comment peut-on, comment doit-on aujourd’hui traiter de l’Eglise? Ce sont là des questions que nous sommes amenés à nous poser pour différentes raisons et que l’on peut poser en utilisant les méthodes les plus diverses. La clarté exigée de tout travail sociologique et l’obligation faite aux chrétiens d’aimer la vérité nous obligent à dire explicitement, dans la mesure du possible, les intérêts qui nous occupent et les méthodes que nous choisissons pour poser ces questions. En Europe, nous avons trop longtemps admis que nos affirmations théologiques avaient, a priori, valeur générale et universelle.