A I ‘occasion de la parution de la traduction française des fragments de l’inscription de l’épicurien Diogene d’Œnoanda, on a jugé bon d’attirer l’attention sur ce texte souvent méconnu en présentant quelques passages significatifs accompagnés de brefs commentaires. On conclut par quelques remarques sur l’ouvrage en question. [A. Etienne, D. O’Meara, La philosophie épicurienne sur pierre. Les fragments de Diogene d’Œnoanda (Vestigia – 20), Fribourg/Paris, Editions universitaires/Cerf, 1996]