L’homme déchiffre l’énigme de sa sexualité dans des cadres herméneutiques qui la qualifient ou à la disqualifient. Éa domination du cadre technoscientifique sert aujourd’hui à qualifier la sexualité dans les mots de l’efficacité (la performance), de la réduction biomédicale (précaution et contagion) et de l’évaluation légale etjudiciaire (la déviance). Face à ce premier cadre, peut-on faire valoir ce qui, dans notre culture, initie et invente une interprétation plus riche et plus complexe, susceptible de raconter et de se représenter la sexualité? Ne néglige-t-on pas souvent l’importance d’une poétique et d’une herméneutique des images servant une augmentation iconique de la sexualité?