En consacrant ici même (RThPh, 110 (1978), p. 269-279) au «paradoxe socratique» les pages intelligentes et nuancées qu’on attendait de lui, M. Joseph Moreau a posé un problème que les interprètes des Dialogues abordent trop rarement sans doute, le problème de savoir si la vertu est, ou non, réductible à la science. Qu’il me permette, en signe d’hommage et d’amitié, d’ajouter un bref complément à son article, d’aller, si je puis dire, sur sa lancée.