Si je saisis l’occasion qui m’est offerte d’une réponse à l’étude critique de J.-P. Th., c’est sans ardeur et sans passion. Faut-il vraiment que, sur le marché théologique, je vienne défendre ma marchandise, montrer tel le poissonnier du petit village d’Astérix que mon poisson est moins pourri que certains ne l’affirment avec des arguments-massues? Quel jeu faut-il jouer? Se réjouit-on de voir voler ledit poisson? Parce que cela changerait de l’ambiance un peu morne qui règne sur la théologie et la philosophie quotidiennes du petit village romand? Les règles du jeu ne me sont pas encore très claires, car je suis assez nouveau. Mais je veux bien tenter de le jouer.