Tout d’abord j’aimerais remercier Philippe Guillaume pour avoir pris la peine de présenter d’une manière détaillée le volume édité par mes soins et d’avoir répondu à la question : «Y a-t-il un avenir pour l’historiographie deutéronomiste ?» par un «Non, quoique…». C’est ainsi du moins que j’interprète ses remarques conclusives. J’aimerais ensuite remercier les éditeurs de la RThPh de m’avoir donné la possibilité de commenter brièvement l’étude de Guillaume.